rapidement...



par-ci par-là...


un gros sujet bien tendu, oui oui, sur ce qui se fait de sérieux ou pas ou un peu ou bizarrement ou je ne sais pas trop comment dire, cet espace de réflexion, c'est celui de l'altérité tant biologique que presque universelle, un truc un peu étrange que j'essaye de tourner autour de la sexuation, ce phénomène qui fait que des individus d'une espèce telle que l'humanité ne sont pas représentatifs du potentiel puisque celui-ci est diffracté par distinctions morphologiques, le phénomène de sexuation qui nous divise oui...


une fiction, un bestiaire, un fourre-tout, de zoophobe ou l'inverse, de zanthrope, de singe, d'animal, de technicien ou de spirituel, d'animé, de passé, de présent, de tout le temps... c'est un truc un peu corrosif mais juste assez amer, c'est pour rire un peu de ce qu'on a de mauvaise foi à régurgiter, de pas très bizarrement étrange, ou au contraire...


là c'est du flop parce que moi-même t'façons j'ai pas lu Kant et ceux qui y pigeraient quoi que ce soit, ça fait déjà trois cents ans qu'on essaye de construire son PPP, donc bin la falaise est ardue mais j'espérais pouvoir en grirmper un peu de paroi, bon...


oui pis du coup je me demandais ce qu'on faisait sur ce caillou perdu dans l'univers, s'il fallait se rassembler tous ensemble dessus ou simplement faire semblant, ou comme si au contraire ce n'était pas le cas, je sais pas trop entre les frontièreurs, les monnaiteurs, les religieurs, les humaneurs, on sait plus trop, moi je me dis je suis un caillou perdu dans l'univers...


l'interconnectivité universelle, voilà un terme qu'il est bien, et tout ce qu'il m'évoque c'est là, l'influence qu'on se sert, qu'on se rend, qu'on se chamaille un peu toujuors pour qu'est-ce que c'est qu'au final cette puissance ? cette force ? cette vie ? cette âme ? cette dignité ou... 'fin bref, le sujet est parti pas du tout là où je croyais, voulais, pouvais, mais c'est les mots, j'en sais rien...


là du coup je me dis que ouais, faudrait un peu que les mots, y'a autre chose hein ? les chiffres et les nombres, c'est encore un délire, et il fallait là que je me dise que ainsi...


et puis qu'est-ce que ces mots comptent, pourquoi je le raconte, c'est parce qu'on est peut-être nous-mêmes de sacrés numéros...


apocalypse quand tu ne nous tiens pas encore tout-à-fait...


pourquoi et comment ?